Le Design graphique - Alain Weill (1)

1) Quels sont les deux mouvements ou créateurs de deux époques différentes qui ont le plus à voir avec vos recherches, vos intérêts et vos ambitions? Argumentez et illustrez.

En lisant le livre le Design graphique, je me suis arrêtée sur un nom, celui de Jan Tschichold.

Il est né en Allemagne en 1902, et décède en Suisse en 1974. 

Dans son travail, ses réalisations, Jan Tschichold rejette la symétrie et les polices traditionnelles, au profit de caractères sans empattements. 

Un visuel dans le livre nous montre que ses constructions sont géométriques, et les recherches que j'ai faites m'ont permis de voir qu'il joue beaucoup sur l'asymétrie de ses affiches.

 

Les principes de base de constructions de l'image de Jan Tschichold me semblent proche des miens. De ce fait, je me sens proche de ses réalisations et m'en inspire.

Le visuel présent dans le livre (ci-dessus à gauche), dans lequel Jan Tschichold donne de la profondeur a son image en créant une perspective qu'il justifie par des images, m'a tout de suite interpellé. J'ai trouvé son lien entre la forme et le visuel très bien pensé. 

Un mouvement que je connaissais déjà mais cependant que me plaît et dont je m'inspire dans mon travail, a également attiré mon attention, il s'agit du mouvement De Stijl.

C'est à l'origine le nom d'une revue d'arts plastiques et d'architecture,

publiée de 1917 à 1928, et écrite par Théo Van Doesburg (1883-1931).

Parmi les artistes rattaché à ce mouvement, on peut en noter un important : 

Piet Mondiran (1872-1944).

 

Ses œuvres sont faites de formes et de couleurs, qui ne se superposent pas. Des rectangles fait d'aplats de couleurs.Je me sens familière face à de telles réalisations, parce-qu'en partant du réel,

 je suis capable d'aboutir à des constructions abstraites très nette et paramétrée.

Je constate qu'il s'agit d'une sorte d'abstraction calculée, qui ne laisse rien au hasard, comme une mise en page avec un gabarit précis. 

Ce que j'admire dans le travail de Mondrian, c'est le fait qu'il ai su dynamisé ses constructions, sans créer de perspective formelle, mais par le jeu de plein et de vide, des déplacements du regard guidé par les différentes zones de couleur, et les diagonales qui peuvent exister.